ON AVANCE UN PEU MERCI

Il y a quelques années, j'avais exploré un site qui disséquait case à case Watchmen et c'étaient des universitaires américains qui prenaient sur leur heure de cantine pour ça. Respect. Là je vais m'en occuper moi-même. Oui, c'est plus sage.

Page 16: Après une séquence panoramiquo-symbolique sur l'instabilté sentimentale pour un individu plongé dans la soupière du spectacle, une rencontre fortuite et essentielle (?), Je  (le perso s'appelle JE) convie sa nouvelle tête de liste du coeur à un week-end en (pas encore) amoureux sur une île déserte où il a accès à la maison de famille de vacances. Là, c'est le matin, le soleil déjà chaud lèche la couche, c'est une naissance en plein jour, genre pleine d'espoir.

Page 19: La balde en vélo permet de dévoiler la vraie nature de l'île déserte. Il s'agit d'une île désertée, de type hors saison. L'épicerie et l'impatience palpable de JE.

Page 22: L'impatience de plus en plus palpable. Sur l'île, JE y a passé dans les 20 étés parmi les plus bouillonnant en terme d'équilibre hormonal, thème concédons-le sur-réchauffé. Chaque recoin, chaque angle de vue a été testé et reste hanté de l'intensité des instants et des émotions de ces temps amers. Bon après ça, c'est la théorie. Et puis JE est pas seul, il s'agit de pas trop chouiner sur le temps qui passe.

26: Ah-AH!! La plage, le coucher de soleil, vous-même vous savez. Le pragmatisme malhabile trouve la le théâtre à sa pleine expression. Le mazout sus-nommé provient de mini pollutions régulières consécutives au dégazage au large.

28: Sans commentaire, finalement.






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