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Affichage des articles du 2012

NON, RIEN ENFIN SI MAIS DE L'ORDRE DE L'INDICIBLE, ALORS?

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JE VOULAIS EN FAIRE 200 MAIS BON PEUT ETRE PAS

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CE WEEK-END A IVRY BORDEL!!!

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http://www.enpremiereligne.sitew.com/#Presentation.A

CEUSSE MES PREFERES

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FINALEMENT LA RENTREE C'EST RENTRE

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J'ai ces strips qui me turlupinent: qu'est-ce que je fous, pourquoi ne pas m'emboiter le maximus corpus, le truc qui va vertébrer ces jours d'automne purulents? Ce à quoi je m'emploie à répondre: eho, mollo Jean-Louis Boirleau, y'a pas le feu au feu, manque de pot. Les couleurs? Bah argent et or tout simplement ça va avec tout.

LIVING GEORGES Opening strips

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JE PROCRASTINE RIEN DU TOUT, JE FIGNOLE

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La rentrée c'est la rentrée c'est septembre début. Mais à vrai dire ça tombe un week-end. Alors je me lance aujourd'hui. Bisous. Voilà j'ai sorti les pincettes et la gaze stérile. Le strip qui démarre c'est le défouloir d'un autre projet, la zone où les persos hors cadre pourront se relaxer et puis moi aussi, je pense qu'il apparaitra de loin en loin. J'ai lu que Tezuka faisait quelque chose de la même famille avec ses personnages qui apparaissaient comme des acteurs dans ses innombrables récits. Parfois personnage principal d'un cycle, ils pouvaient devenir simple figurant ou second couteau d'une autre. La tête de gondole de Jazz a grandi, un peu morflé ausii.

ON S'EN EST SORTI MAIS C'ETAIT JUSTE JUSTE

La rentrée c'est début septembre, c'est pas la peine de vous casser la souris à venir voir, y'a rien, je prépare. Je vous l'ai dit en plus.

A LA RENTREE, CA VA CHIER !!

Déjà le vert bouteille en sapin, j'en peux plus de cette sensation de vieux guacamole omniprésente. Ensuite: de la couleur et moins de vieux trucs: Des strips, des pages, des photos, du rire, des autoportraits, que sais-je, comment occuper TOUT son temps pour pas se dire ouah l'année a filé à une vitesse!!!!

POUR BOUCLER: JAZZ EN DEUX CASES!!

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POUR LES CANCES-VA

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Pour les vacances, nous hésitons… Mouais… Pfff… Brrr… Ohlaa… Allez: Ardèche!

RIDEAU

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merci qui   ? Bah merci et amour à ma précieuse alex sans fin, mon immense eliott en fusion, ma merveilleuse louison en ébullition, qui ont mis les yeux et les mains à l’ouvrage (eliott et louison ont dessiné les animaux de la page 3) ma maman mon papa ma mémère mon tonton et mes pensées à mon georges et ma denise. mon frangibus guillaume, laurène et lino. mon vieux poto franco, gagathe, drosan. dave le verdu, sandrine, mat et Baz’. irène, alain et aurore, rv, ln, michèle et roger, nicole et michel, franky, nadine, diane et K. Louis. il y a daniel «chéribibi», il y a bérengère orieux et frédéric cambourakis qui m’ont donné la confiance. allez, encore une floppée   : wed, yao, jcc, simona, sybilibiline, elisabeth, camille, spécialement audrey ma première correctrice, guiom, caroline, david chauvel, fred, sylvain, steph’, elisabeth h., alfred, thierry m., cati, julie pour leurs yeux. merci sophie la fraise anna la belle alex la touffe merci annaïc, léo et béné, tristan p., bab’s

THE END IS NEAR

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GROS TEMPS ET PARS DEVANT

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Petit plaisir pour un végétarien: un plateau des fruits de la mer (elles seront plus tard comparées aux sirènes de la mythologie) auquel on ne touchera pas. Au cours de l'affrontement qui va suivre sur l'emprise de ces personnes sur la personne de JE (somme toute me disait un critique particulier assez classique dans le premier mouvement du propos), il sera établi que ces demoiselles ne sont que des images, argument derrière lequel elles s'empresseront de se réfugier quand l'ambiance se tendra et la surface de leurs grands fronts photoshopés se ridera comme la surface de l'océan à l'approche - enfin - de… Une de mes pages préférées, modèle pour mes prochains gaufriers de prochains projets. L'approche de…, de…

CONTRE-JOUR ET TUE L'AMOUR

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Bon, c'est l'été on va dire - non, je ne parle pas météo, trop peur de créer un vortex de vide de sens des mots - dans les planches comme à la fenêtre (je supporte mal la chaleur) et nous voici de plein pied dans la période la plus compliquées parce qu'à force de reculer pour mieux sauter voici JE acculé. Et l'image, l'image de ce moment est une pure construction mental d'un mental soumis aux flux indifférents.Rien ne correspond, on ne lui a rien dit d'assez fiable et le sable est trop chaud, merde! Rien de tout cela n'est arrivé ni la page précédente ni les autres, rien. Mais, des confettis de ce qui fut me remonte le conduit et s'imprime comme vu. Bon, le processus est complexe et ça donne des séquences sur lesquelles je ne reviendrai pas car elles doivent être comme ça. Oui je sais j'avais dit lecture commentée, lecture "augmentée", ben c'est ça: y'a encore plus à lire. Avouez: ça marche, non? Là dans le ré

P**** J'AI PAS DE MEMBRE, CA CRAINT

DE L'EAU EN FEU

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Allez, de la couleur. L'année dernière, de grands projet s'ébrouaient à l'approche de l'été et puis baaah, non. En restent ces planches préparées pour parler des gaz de schistes, de leur exploitation sans contrôle et du cynisme des ayants-droits à tout là-dedans. Cette séquence hallucinante m'a été totalement inspirée par le film GASLAND

WOAH C'EST CHAUD CHAUD CHAUD ICI!

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Là, c'est limpide quand même, oh! Les accus bien à bloc, le JE panique quelque peu devant le potentiel énergétique qui s'ébroue à certains points de chauds de lui. Il faut: que ça sorte d'une manière ou une autre sauf que le mode d'emploi est encore dans la poche de papa. La plage du désir, les vagues du plaisir. Comprenez. Et puis surfeur il y a un temps c'était un métier. Qui a remarqué le frangin qui remarque l'étoile de mer?  J'aimerai qu'elle me remarque sans qu'elle remarque que je veux qu'elle me remarque. Un peu long pour un blason mais un bon résumé des conneries dans lesquelles se prennent nos jeunes chevilles. L'air, les mots, le papier vibrent de "il y a quelque chose d'important que tu dois faire" mais JE et bien il n'en sait rien. Une page ambiance que j'aime, oui. Et vous l'aimez aussi.

LE BROUILLON PERDU RETROUVÉ

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Donc voilà, on est dans une impasse, on sirote un échec, on sédimente dans l'amertume. La vibration de loose est si forte à ce moment que se matérialise un gag sur le dessus de lit. J'ai eu un doute mais après tout sans aucune concession au pavé de texte narratif ou introspectif, il me fallait un coup de main au niveau de l'image. Un feu de bois, un strip-tease improvisé, alors un rateau… Moi celle-là, je l'aime bien. Elle raconte rien. Inspiration. TA-DAAAAAAA. Je me suis dit le pauvre JE, tout seul, bon non pas tout à fait mais pour creuser un peu le sillon introspectif sans textes genre "là, il pense parce que c'est en forme de petit nuage, t'as vu, si lourdes que soient ses réflexions" Allez banco pour l'hérisson. Le hérisson est-il le réceptacle à une quelconque symbolique quelque part eh bien je l'ignore mais dès que j'ai vu sa petite bouille de salopard, j'ai su que ce serait lui. A vrai dire dans une version précéde

NUAGES A L'HORIZON

OK, on m'annonce que mes postages blogueux sont encore plus nébuleux que le bouquin himself, j'annonce: tant mieux.

AGE TENDRE ET SLIP EN BOIS

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Ok, on y retourne: Vous avez remarqué, la période enfant s'achève sur un TRAUMATISME. Eeeh oui, on n'y échappe pas. Sinon on s'emmerde. Sinon l'enfance c'est trop bien et surtout comme on est vieux, c'est trop triste. Tandis qu'avec le bon TRAUMATISME des familles, bah l'enfance petit a: reste à l'esprit très vivace car inachevée par la quête de résolution de ce TRAUMATISME petit b: n'apparait pas trop idyllique par comparaison avec maintenant où il y a toujours autant de merde à digérer par tous les orifices sensoriels sauf que maintenant on gère et/ou on prend des médocs. Bref. Transition, pont, respiration, parenthèse.  Ca repart. La nervosité d'une mise en place, les personnages qui s'agitent dans toutes les dimensions pour rayer la page blanche de cette nouvelle période qui s'ouvre là. Je bosse pareil à vrai dire, je couvre le brouillon de patates qui se superposent et là dedans il y a mes cases. Maintena